Il y a cette grande et belle maison dans ce domaine magnifique au sud
des Etats-Unis ; dans cette maison une vieille famille vivait, installée
depuis des générations, une famille de « maître » connue dans toute
la région, une famille esclavagiste.
Mais dans la nuit du 6 au 7 décembre 1941 un incendie ravage la belle
propriété, il y a des morts, mais jamais on ne sut ce qu’il s’était vraiment
déroulé.
« Après l’incendie »
nous raconte finalement ce qui s’est passé avant…, c’est étrange mais il faut
aller au bout du livre pour comprendre la subtilité du titre que bien sûr je ne
dévoilerais pas là.
Donc, Diana Cook nait au
début du siècle dans ce fameux domaine de « Saratoga », elle est l’héritière,
du domaine et malheureusement aussi de ses dettes…
Pour sauver l’honneur, la
famille, la maison il lui faudra faire un « mariage de raison » et la
jeune femme, bien que rebelle, se soumettra aux lois de sa condition en
épousant un certain Capitaine Copperton.
Ce n’est pas le meilleur
Goolrick que j’ai lu mais l’histoire est tout de même divertissante, et bien
écrite.
Suite au roman il y a une
petite nouvelle, « Trois lamentations » qui est un récit
autobiographique d’une année où notre auteur a fréquenté dans son école trois
jeunes femmes aux histoires difficiles et rejetées par l’ensemble des
adolescents.
J’ai trouvé cette nouvelle
très interessante, peut être aussi plus sincère. Certains problèmes n’ont pas
beaucoup évolué et la capacité des jeunes à être intolérants peut être parfois
très déroutante, l’inverse étant aussi
vraie si l’on en croit le narrateur…
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