Trois femmes, trois histoires, un lien invisible.
Smita, en Inde, est une « Intouchable », son job est de
nettoyer les toilettes des plus riches, littéralement nettoyer la merde des
autres. Elle a une fille en âge d’aller à l’école et Smita ne veut pas que sa
petit fille vive sa vie, elle veut se battre pour lui offrir autre chose. Elle
est incapable de laisser la vie continuer ainsi.
Giulia vit en Sicile et travaille avec son père dans son atelier mais un
accident va obliger la jeune femme à prendre les rênes de l’entreprise
familiale et c’est ainsi qu’elle découvrira qu’elle est au bord de l’abîme.
Sarah est avocate et vit au Canada, c’est une meneuse, une battante,
rien ne l’arrête ou ne lui fait peur. Sa vie va être bouleversée
lorsqu’elle apprendra qu’elle est gravement malade.
Gros engouement médiatique, ce qui fait toujours un peu peur…
C’est ce qu’on
appelle “un livre qui fait du bien”, les “feel-good” très à la mode, et
pourquoi pas.
Ce n’est pas de la grande littérature, mais ce n’est pas trop mal écrit non plus et ça se lit très vite, c’est facile.
Facile c’est le mot, c’est cousu de fil blanc et attendu, pas beaucoup de surprise.
Pour moi le point positif c’est qu’il m’a tout de même poussé à la
réflexion sur les liens qui se tissent de par le monde et qui sont réels. Tel
celui du livre ou d’autres encore, les vêtements que l’on porte, les objets que
l’on achète pour notre usage de tous les jours ou de décoration...
Finalement se
dire que malgré des conditions drastiquement différentes nous sommes tous plus
ou moins « en lien », parfois le fil est ténu ; quelque part
quelqu’un fait quelque chose et cela peut avoir un impact sur ma vie, et
inversement…
Plutôt intéressant lorqu’on y réfléchit bien…
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