"Car la lecture est un singulier dialogue qui ne rêve que de pluriel, celui du désir incandescent d'échanger, de partager et de confronter ses impressions de lecture, de les dire aux autres et au monde, un désir puissant de faire circuler les oeuvres et de donner aux mots aimés l'écho le plus long et le plus lointain possible" Manuel Hirbec pour "Page"
lundi 4 juin 2018
"La maison à droite de celle de ma grand-mère" de Michaël Uras
Giacomo, d'origine sarde, vit à Marseille où il est traducteur.
Il a beaucoup de travail et notamment depuis que son éditeur lui a demandé une traduction d'une nouvelle version de la très célèbre histoire de Moby Dick. Mais son oncle l'appelle depuis son village natale pour l'informer que sa grand-mère très malade est hospitalisée et n'en a plus pour très longtemps.
Aussitôt Giacomo prend le bateau pour rejoindre son île et replonge dans son enfance, dans son village coloré aux personnages étranges.
Il nous permet de découvrir un petit peu de Sardaigne, de ses habitants.
Et peu à peu il nous emmène dans sa propre histoire et ses secrets.
Alors soyons franc, je n'ai pas du tout accroché avec les personnages qui ne m'ont absolument pas touché. J'ai trouvé l'histoire assez insipide et je me suis forcée à aller au bout pensant qu'il y aurait peut-être une surprise intéressante, mais non.
Alors certes c'est coloré, comme les murs du village ou les chemises des hommes mais pour moi ça s'arrête là, je n'ai trouvé aucun intérêt et surtout aucun plaisir à la lecture de ce livre.
Dommage j'ai perdu un peu de temps à vouloir aller au bout...
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PRELUDES, 314 pages.
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